On garde son calme, ce n’est pas encore la fin de notre monde

Séismes, incendies, inondations, incapacité des dirigeants de ce monde à rassurer les populations face à des fléaux comme la guerre, la montée des extrémismes, les drogues, les incivilités, font imaginer le pire.

Je vous rappelle ce matin la légende du colibri

Nous vivons dans un monde où le même évènement est répété toutes les 15 minutes par les chaines d’infos ou les radios. Assassinats, guerres,  séismes, incendies, inondations, il n’est donc pas étonnant que notre cerveau soit agressé au point que quelques fois il a tendance à voir tout en noir.

L’incapacité des dirigeants de ce monde à rassurer les populations face à des fléaux comme la guerre, la montée des extrémismes, les drogues, les incivilités, font imaginer le pire.

Même l’expression de l’ONU concernant la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires nous rappelle que pour que notre monde puisse vivre un avenir pacifique, la menace nucléaire doit cesser, or même cette expression contribue à faire peur.

Je vois ici ou là l’annonce de la fin de notre monde, la fin de notre planète .

Prenez du recul sur ces évènements car notre vieille planète tourne encore. On garde son calme, ce n’est pas encore la fin de notre monde. Des enfants, des femmes et des hommes souffrent souvent à cause de nos propres turpitudes. Alors agissons !

Je vous rappelle ce matin la légende du colibri :

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »

Passez une bonne journée !