Berlin ne fait pas assez pour combattre le terrorisme

Après avoir déstabilisé l’Europe par un accueil excessif des migrants, autres qu’européens, les autorités allemandes pensent contenir le terrorisme en prenant uniquement des mesures internes, or le foyer de ce terrorisme est toujours actif au Moyen Orient et pourrait s’étendre avec la déstabilisation de la Turquie.

 

Les grandes familles allemandes dans l’œil du cyclone

Les erreurs stratégiques sur la problématique de la natalité en Allemagne depuis plusieurs décennies font de ce pays un des plus fragiles d’Europe. Le terrorisme qui a élu son siège au Moyen Orient a programmé la déstabilisation du « bloc fort européen, Allemagne et France.»

La responsabilité des grandes familles allemandes est engagée, elles qui dirigent le continent ont laissé prospérer, en premier lieu Poutine et fragilisé « le front de l’Est ». En deuxième lieu, en voyant grandir le foyer du Moyen Orient et en Afrique Nord- Centre ont laissé la France « trop seule » sur un sujet aussi lourd. Enfin, disposant de tous les éléments sur la dérive autocratique du président turc qui pourrait faire le lien entre le front de l’Est et le foyer du Moyen Orient et Afrique Nord- Centre, elles ont fermé les yeux.

Après avoir déstabilisé l’Europe par un accueil excessif des migrants, autres qu’européens, pour leurs intérêts économiques, les autorités politiques allemandes répondant aux souhaits des grandes familles pensent contenir le terrorisme uniquement par des mesures internes. Chacun sait la différence culturelle et cultuelle de la plupart de ces migrants, à dose massive cela devient ingérable pour les deux parties. Ces peuples sont mieux chez eux.

Il est urgentissime que l’Allemagne et la France avec quelques pays européens fassent le nécessaire pour rétablir un minimum d’ordre dans des territoire si proches de nos frontière pour que ces migrants puissent retrouver leur pays. Le capitalisme, version allemande, des grandes familles vient de « faillir » dans sa vision à moyen terme et la note sera lourde pour l’ensemble du continent européen.

Le temps des politiques est venu, ils doivent reprendre la main, une fenêtre s’ouvre pour eux, les campagnes électorales qui vont arriver dans les mois à venir doivent permettre de discuter de l’organisation par les autorités politiques d’une force multinationale européenne capable de faire changer de camp la « peur qui s’abat sur l’Europe ». Ces politiques ne peuvent pas se résoudre uniquement à suivre les idées et mesures envisagées par leurs « extrêmes droites ». Si les politiques ne sont pas conscients de leurs responsabilités « immédiates » le pire est à craindre.