Arles 2013 en noir et blanc

Les Rencontres culturelles d’Arles 2013 remontent à la surface deux couleurs qui longtemps ont été une forme esthétique. Un clin d’œil à une manifestation culturelle de qualité.Cette manifestation qui a commencé au premier juillet se termine le 22 septembre  2013.

 

Une immense exposition

 Le point.fr a constitué un très beau dossier sur ces Rencontres culturelles.

« Immense, si l’on en juge par les dizaines d’expositions que propose cette 44e édition : l’album consacré à la « période Bibi », la première épouse de l’enchanteur Lartigue, la rétrospective de l’oeuvre de Sergio Larrain, grand photographe chilien de l’agence Magnum, ou encore la découverte de la merveilleuse poésie surréaliste de Gilbert Garcin, l’une des révélations du festival.

Mais la couleur ne s’efface pas pour autant. Elle s’affiche stupéfiante dans les splendeurs de Hiroshi Sugimoto, questionne l’Afrique du Sud, fait renaître les studios des portraitistes du Moyen-Orient. La planète Mars se dévoile aussi : en noir, blanc, couleur ? La réponse, mystérieuse, vaut le détour. »

 Les Rencontres culturelles d’Arles 2013 remontent à la surface deux couleurs qui longtemps ont été une forme esthétique..

Gordon Parks un « lutteur anti racisme »

 Les Rencontres d’Arles consacrent une très belle rétrospective à Gordon Parks, premier reporter noir américain et figure de la lutte contre le racisme.

 « Ce que je veux, ce que je suis, ce que vous m’obligez à être, c’est ce que vous êtes », écrit Gordon Parks en mars 1968 dans Life. « Car je suis vous, et je vous dévisage dans le miroir de la misère et du désespoir, de la révolte et de la liberté. Regardez-moi et comprenez que me détruire, c’est vous détruire vous-même ».

 Cette manifestation qui a commencé au premier juillet se termine le 22 septembre  2013 donc il vous reste encore du temps par exemple vous Scheikha Mayassa.