The Carlyle Group

Le Groupe Carlyle est une société de gestion d’actifs mondiaux américaine fondée en 1987 spécialisée dans le capital-investissement.

Le Groupe Carlyle s’intéresse depuis longtemps à la France

The Carlyle Group investit ses fonds avec pour objectif une stratégie de création de valeur tant pour le compte de ses investisseurs et sociétés en portefeuille qu’au profit des communautés dans lesquelles le groupe évolue et investit.

En France, on se souvient, en 2003, le Groupe Carlyle achète à l’État français les locaux de l’Imprimerie nationale, qui est démantelée, pour 85 millions d’euros. L’État lui rachète en 2007 ces mêmes bâtiments pour en faire le nouveau ministère des Affaires étrangères, pour 376,5 millions d’euros, soit 4,5 fois le prix de départ après environ 120 millions d’euros de travaux.

Plus récemment 

En 2021 : ENVEA rejoint Carlyle : Le Groupe rejoint Carlyle Europe Technology Partners IV (CETP IV), une branche européenne du Groupe Carlyle. ENVEA continuera d’opérer de manière indépendante en tant que fabricant de classe mondiale de systèmes de surveillance de l’environnement, des émissions et des processus. Cela donnera à ENVEA plus de flexibilité pour mettre en œuvre sa stratégie à long terme.

En juillet 2023, Carlyle annonce le rachat de la startup française de cybersécurité Pr0ch3c, qui sera renommée [Neverhack].

Fin 2023 : Onepoint annonce la levée d’un financement obligataire d’un montant pouvant aller jusqu’à 500 millions d’euros auprès de Carlyle Global Credit, la branche crédit du gestionnaire d’actifs alternatifs mondial Carlyle. Ce financement de long-terme s’effectue sous la forme d’obligations d’une maturité de 8 ans. Il amplifie significativement la capacité d’accélération de Onepoint sur ses marchés principaux, tout en lui permettant de refinancer ses obligations existantes. L’opération préserve l’indépendance de Onepoint, David Layani détenant 77 % des actions de la société et ses employés les 23 % restants.

Carlyle sera directement ou indirectement partie prenante dans le rachat potentiel d’ATOS ?