Atos, l’attentisme n’est plus de rigueur

Puisque Bercy n’a pas les moyens ni la volonté d’une nationalisation, il devient urgent d’accepter une véritable solution, le climat actuel est préjudiciable à Atos et à ses salariés.

On achète moins cher ce qui est moins sûr

Tout est fait pour montrer une image catastrophique d’un fleuron comme Atos. En externe mais aussi en interne on raconte des histoires sans fondement créant un climat préjudiciable pour Atos. Certains parlent même de disparition d’argent, montrant ainsi leur incapacité à comprendre le fonctionnement d’une entreprise et que dire des journalistes économiques qui font semblant de découvrir l’affacturage.

Bercy a fait pression sur Airbus pour négocier le rachat d’une partie d’Atos pour moins de 2 milliards, conclusion non seulement cela n’a pas abouti mais cela a terni son image.

Et que penser de l’opération de Daniel Kretinsky, qui jusqu’alors n’a jamais investi dans le secteur des services numériques. Tout ne se résume pas à du financier, sans projet viable on sait comment cela se termine en particulier pour les salariés.

Puisque Bercy n’a pas les moyens ni la volonté d’une nationalisation, il devient urgent de proposer une véritable solution, le climat actuel est préjudiciable à Atos, chacun sait qu’on achète moins cher ce qui est moins sûr.

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