No code – low code, quand l’histoire accélère

Pour expliquer aisément ces deux notions, j’ai trouvé un article qui en parle simplement. En plein essor, le développement no code promet une programmation sans saisir une ligne de code grâce à des outils graphiques gommant la complexité des langages de programmation. Mais quelle différence avec le low code ?

Le no code, c’est quoi ?

La notion de no code renvoie à un mode de développement logiciel qui masque la complexité du code source de l’application. Présenté autrement, le no code définit la capacité à créer un logiciel sans avoir à renseigner la moindre ligne de code. 

Quelle différence entre No code et Low-code

Globalement, les applications listées dans cet article s’inscrivent dans une logique qui se veut au maximum sans code. Le concept de low-code (qui signifie littéralement « peu de code ») consiste à compléter un environnement no code de possibilités d’éditer en parallèle le code source de l’application. Au final, plus les outils de développement no code sont simples à prendre en main, plus ils se révèlent limités. A l’inverse, plus ils sont complexes et orientés low-code, plus ils sont riches et laissent la porte ouverte à des développements, dits spécifiques, sortant des sentiers battus, voire innovants, et nécessitant du codage. Des développements spécifiques qui impliqueront évidemment l’intervention de programmeurs. Parmi les principales plateformes de développement low-code figurent Appian, Mendix, Microsoft (avec sa Power Platform), OutSystems, Salesforce ou encore ServiceNow.