Moins de capitalisme et plus d’écologie

Le voyage de Olaf Scholz en Chine est le dernier exemple des limites du capitalisme. Prisonnier du présent, le chancelier allemand en oublie le sens de l’histoire d’un nouvel équilibre impliquant le maintien de conditions écologiques viables sur la planète.

Les discours ne suffisent plus, il faut passer aux actes

En parallèle du capitalisme, la construction d’un secteur économique sans profits, garanti par l’Etat, passe par la création d’entreprises dans les domaines des infrastructures, la santé, l’éducation, absorbant les fonctions publiques et des secteurs stratégiques, permettant la maîtrise et la transparence de ce qui fait notre vivre ensemble.

Les discours ne suffisent plus, il faut passer aux actes. Le voyage de Olaf Scholz en Chine est le dernier exemple des limites du capitalisme. Prisonnier du présent, le chancelier allemand en oublie le sens de l’histoire d’un nouvel équilibre impliquant le maintien de conditions écologiques viables sur la planète.

L’Europe doit donner l’exemple au monde

La France, l’Allemagne, l’Europe  et autres puissances occidentales ont besoin d’imagination et d’une révolution économique en construisant une économie solidaire, sans profits, en parallèle du capitalisme, afin de permettre de retisser le lien qui nous unit. Nous avons besoin de créer des millions d’emplois en utilisant l’effet levier de l’état qui nous rassemble.

Comme indiquait Ignacy Sachs : L’État doit tout d’abord gérer l’interface entre les différents niveaux de gouvernance ; dans la mondialisation, l’État-nation ne doit pas s’effacer mais au contraire s’affirmer comme un élément central pour l’articulation du global et du local.