Plus de deux milles blessés depuis le 17 novembre 2018, début du mouvement des gilets jaunes. Cet acte 12 leur est consacré, mais irrémédiablement l’accident majeur se produira tôt ou tard.
Le président Emmanuel Macron ne veut pas se faire voler sa victoire à la présidentielle. Les oppositions politiques n’ont pas digéré leur échec. Beaucoup de français, encore une fois, ont voté Macron pour empêcher Marine Le Pen d’arriver au pouvoir, ils n’ont pas voté pour le programme proposé par le président élu.
Le déroulement de l’Acte 12
Il y a Paris mais aussi Valence et d’autres villes qui verront se dérouler cet acte 12, espérant que l’accident majeur ne se produise pas dans leur ville qui deviendrait alors un symbole. Malheureusement, la tension entre les forces de l’ordre , les gilets jaunes et les extrêmes aboutiront irrémédiablement à l’irréparable.
Il y a Paris mais aussi Valence et d’autres villes qui verront se dérouler cet acte 12, espérant que l’accident majeur ne se produise pas dans leur ville qui deviendrait alors un symbole. Malheureusement, la tension entre les forces de l’ordre , les gilets jaunes et les extrêmes aboutiront irrémédiablement à l’irréparable.
Chiffre des manifestants selon Le nombre jaune : 115 954 minimum.
20h 00 : Bordeaux : Ils étaient 4 000 gilets jaunes pour cet acte 12.
19h 45 : Marseille : Plus de 2 000 gilets jaunes ont manifesté ce samedi 2 février 2019.
19h 30 : Tours prés de 3 000 gilets jaunes étaient présents pour cet acte12. Quelques incidents sont à déplorer.
19h 15 : Pau : Environ 400 personnes ont participé ce samedi à la marche des gilets jaunes dans les rues de Pau.
19h 00 : À travers le pays, ils étaient au moins 58.600 selon Beauvau. L’Intérieur avait indiqué que samedi dernier ils étaient 69.000 manifestants. Chiffre sous évalué certainement.
18h 45 : Le Puy en Velay : Malgré la neige et le froid, une centaine de gilets jaunes ont manifesté.
18h 30 : La Préfecture de Paris parle d’au moins 10 000 gilets jaunes qui manifestent. Le cabinet indépendant Occurrence a annoncé de son côté que, selon son comptage, 13 800 personnes s’étaient rassemblées à Paris.
18h 15 : Nevers : Malgré l’interdiction 25 gilets jaunes ont manifesté.
18h 00 : Grenoble : Les gilets jaunes manifestent en soutien de France Bleu Isère.
17h 45 : Annecy : Prés de 250 manifestants affrontent le froid.
17h 30 : Périgueux : un millier de gilets jaunes manifestent contre la politique du gouvernement.
17h 15 : Paris Plusieurs gilets jaunes rangent un container place de la République dont des éléments auraient pu servir à des jets de projectiles. La police intervient avec force en les repoussant.
17h 00 : Nantes : un millier de gilets jaunes manifestent en vile.
16h 45 : Lyon : Les Gilets jaunes mobilisés traversent pacifiquement la grande rue commerçante de Lyon.
16h 30 : Au moins 6 000 gilets jaunes à Valence, peu d’incidents pour l’instant. Une ville barricadée par la police qui a coupé toutes les voies d’accès. Le cortège a pu aller jusqu’à la Préfecture. Les rues étaient fermées et la police a envoyé des grenades lacrymo. Une belle réussite compte tenu du temps pourri, et des manœuvres policières dignes de pays totalitaires.
16h 15 : Toulouse : Enorme manifestation de gilets jaunes.
16h 00 : Nancy : défilé de gilets jaunes et tensions avec les forces de l’ordre.
15h 45 : Morlaix : Plusieurs centaines de manifestants défilent.
15h 30 : Bordeaux : défile pour la douzième fois, forte présence.
15h 15 : Dijon : 3 000 personnes ont défilé à Dijon, qui reste un important bastion de manifestants. Dans le département d’autres manifestations ont eu lieu.
15h 00 : La Rochelle : environ 800 gilets jaunes dans les rues ils dénoncent les violences policières.
14h 45 : Angers : Pour la douzième semaine de suite, quelque 250 gilets jaunes ont défilé samedi après-midi à Angers.
14h 30 : Le ministère de l’intérieur annonce 17 500 GJ dans toute la France, un chiffre complètement bidon. Le cabinet indépendant Occurrence a annoncé de son côté que, selon son comptage, 13 800 personnes s’étaient rassemblées à Paris.
14h 15 : Macon : Plus 500 gilets jaune ont répondu présents pour cet acte 12 et pourtant le froid était là.
14h : 00 Clermont Ferrand : plusieurs centaines de gilets jaunes défilent.
13h 45 : Autun : Une bonne cinquantaine de gilets jaunes se sont rassemblés pour cet acte 12.
13h 30 : Orleans : 350 gilets jaunes et roses parcourent les rues d’Orleans.
13h : 00 : Saint Quentin : les pompiers actionnent les sirènes et gyrophares pour soutenir les gilets jaunes.
12h 30 : La manifestation parisienne la plus importante démarre de la Place Félix Eboué en va in direction de République ou vont converger d’autres cortèges.
12h 15 : Les street médic. les héros de ce mouvement social, qui sont la pour éviter que les blessés devienne des blessés graves.
12h 00 : Nice manifeste sous la pluie.
11h 45 : Savoie : Opération Péage Gratuit au de Péage Saint Hélène en Savoie.
11h 30 : Toulon : Le Var est appelé à se rassembler à Toulon ce samedi en fin de matinée. Un appel à également été lancé à tout les motards pour rejoindre la manifestation des gilets jaunes.
11h 15 : Paris : La Place Félix Éboué se remplit.
11h 00 : Lille : des gilets jaunes se sont rassemblés devant le commissariat de police de Lille pour dénoncer les violences policières .
10h 45 : Caen : Les gilets jaunes arrivent devant le Palais Fontette. Ils sont 2000 à manifester.
10h 30 : Eric Drouet est sur place pour la manif.
10h 15 : LE BOULOU : tensions en cours avec les forces de l’ordre.
10h 00 : Rouen : de nombreux gilets jaunes manifestent dans le centre-ville pour l’acte 12.
9h 45 : La Réunion : alors que les mobilisations commencent dans l’hexagone pour l’acte 12 du mouvement, à la Réunion, les femmes prennent le flambeau de la mobilisation contre la vie chère .
9h 30 : Valence : Tous les accès qui mènent à l’hyper – centre de Valence sont barrés. De nombreux CRS sont mobilisés.
9h 00 : Paris : Dans la capitale, les premiers groupes de « gilets jaunes » ont commencé à se rassembler place Felix Éboué, dans le 12ème arrondissement. La manifestation, déclarée en préfecture, doit débuter à partir de midi à proximité de là, de la place Daumesnil. Jérôme Rodrigues et plusieurs blessés arrivent sur place vers 10h.
8 h 00 : Judiciaire : 59 avocats racontent les difficultés majeures qu’ils rencontrent à exercer correctement les droits de la défense dans les dossiers de plusieurs « gilets jaunes »
7h 00 : Conseil d’Etat : il a rejeté vendredi les demandes sur la suspension de lanceurs de balles de défense (LBD) lors des manifestations de Gilets jaunes. Le juge des référés de la plus haute juridiction administrative a estimé “que l’usage du LBD de 40 mm ne peut être regardé, en l’état, comme de nature à caractériser une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de manifester et au droit de ne pas être soumis à des traitements inhumains ou dégradants”.
6h 30 : BOULOGNE SUR MER : Marche nocturne des gilets jaunes hier soir la veille de l’acte 12.
6h 00 : Toulouse : dans une vidéo des policiers regardent la manifestation des gilets jaunes du 12 janvier et disent : « Mais putain il faut tirer quoi ! » et « Il faut aligner deux-trois bastos« . Une enquête à été ouverte, ces types de propos choquent toute la population.
L’ordre vient d’en haut
Le jeune président Emmanuel Macron se croyant dans un jeu virtuel a mis en scène sa victoire, mais l’habit était trop large pour lui. Entouré par une équipe de technocrates, muselant la société civile de l’Assemblée nationale, par des choix hasardeux et idéologiques, il a diminué les recettes découlant de l’ISF tout en baissant de 5 euros les aides au logement.
En deux décisions, il a écopé d’une image de président des ultras riches, aux phrases assassines pour de nombreux concitoyens et a libéré les extrêmes, droite, gauche, anarchisante et autres.
En même temps un étrange phénomène se produisait, plusieurs médias parlaient d’un groupe virtuel qui appelait à manifester le 17 novembre 2018, les gilets jaunes.
Sortis du monde de Facebook, ils s’étaient donné rendez-vous dans le vrai monde pour se connaître et partager leurs inquiétudes de l’avenir.
De l’acte 1 à l’acte 12, aujourd’hui 2 février 2019, tant de choses se sont passées, en particulier sur le maintien de l’ordre. Le nombre de blessé n’a cessé de croître, pour dépasser 2 000. Une bonne centaine souffre de blessures graves, parfois à vie.
La peur d’une déstabilisation du pays a gagné le camp présidentiel et l’ordre a été donné de faire changer la peur de camp, les blessés graves se sont alors multipliés. Pour garder son pouvoir, le président élu sur un malentendu, a sacrifié les forces de l’ordre.
Pour certains français, ceux qui étaient applaudis pour leur combat contre le terrorisme représentent désormais le bras avancé d’un pouvoir aux abois, frappant à l’aveugle comme Jérôme Rodrigues, la bavure de trop.
Si un certain nombre de gilets jaunes sont retournés dans le monde virtuel, d’autres ont découvert la fraternité du combat pour un « autre monde réel ».
Jamais, la France notre pays n’a été autant divisé. Ce n’est pas un débat surréaliste dont les conclusions seront tirées uniquement par le jeune président qui mettra fin aux actes 13 et suivants.
Il est fort probable que la violence des extrêmes envers le pouvoir va augmenter. La stratégie du départ est de déconsidérer ce mouvement, ainsi on veut faire d’Éric Drouet le seul interlocuteur, tout en le traitant de « bad boy .»
Encore une fois, le jeune président se trompe, dans quelques temps Drouet et Nicolle passeront aux deuxièmes plans, Ludosky passera le relai à d’autres leaders qui arrivent déjà, comme les représentants de l’Assemblée des Assemblés ou le jeune Teddy Lemaire…
Macron sera probablement sacrifié par ceux qui l’ont mis au pouvoir, car la note à payer sera trop élevée, tant au niveau économique que le nombre de blessés qui détruit notre image au niveau mondial. Les ultras riches qui auront abandonné Macron diront alors de lui, ce président a été une erreur de l’histoire.