Nantes contre PSG, 14 janvier 2018, ligue 1

Dans un stade de La Beaujoire plein à craquer, Nantes reçoit le PSG dans le cadre de la 20e journée de la Ligue 1. Ranieri croit à l’exploit,.

Unai Emery doit reprendre en main son équipe

C’est un peu le bazar depuis quelques jours au Paris Saint Germain, entre les uns qui arrivent en retard pour la reprise et les autres qui parlent pour rien dire dans les médias. Ce manque de concentration peut s’avérer catastrophique si par hasard une défaite se produisait.

Celui qui doit garder la tête froide c’est Unai Emery, si comme tout entraineur en cas de mauvais résultats, il peut être inquiété, tout porte à croire que le PSG peut faire une belle fin de saison, tant au niveau national que pour la Ligue des Champions.

Neymar sera absent pour cause de blessure, une opportunité pour Cavani qui compte 155 buts alors que le record de Zlatan est à 156 buts.

Les onze de départ

Nantes : Tatarusanu – Dubois, Diego Carlos, Pallois, Awaziem – Touré – Bammou, Girotto, Rongier, Lima – Sala

PSG : Alphonse AREOLA, Presnel KIMPEMBE, MARQUINHOS (c), Layvin KURZAWA, Dani ALVES, Marco VERRATTI, Giovani LO CELSO, Adrien RABIOT, Edinson CAVANI, Angel DI MARIA, Kylian MBAPPE

 

Le Match

Le Paris Saint Germain prend rapidement le dessus et Di Maria marque le premier but de la soirée à la 12e minute. Malgré de nombreuses occasions le PSG n’arrive pas à concrétiser. A la mi-temps le score reste à Nantes : 0 PSG : 1

La seconde période voit les nantais plus téméraires essayant d’égaliser mais prenant aussi de risques car le PSG entend bien marquer une nouvelle fois. Le match devient plus intéressant. A la 60e minute, Sala pour Nantes marque un but,  mais il est dit hors jeu par l’arbitre de touche, au ralenti on remarque aisément qu’il ne l’était pas. En fin de match l’arbitre, Tony Chapron, donne un carton rouge à un nantais, Diego Carlos, alors qu’il l’avait bousculé involontairement, une décision particulièrement choquante.

Les parisiens s’en sortent bien car les nantais méritaient l’égalisation. Paris doit monter d’un cran son jeu, le dernier quart d’heure est inquiétant.