
Leon XIV a dit : « Le mal ne prévaudra pas ». C’est une affirmation forte qui suggère que, malgré les difficultés et les épreuves, le mal n’aura jamais le dernier mot.
L’histoire est remplie de progrès qui semblaient impossibles avant qu’ils ne deviennent réalité
Car nous marchons par la foi et non par la vue, (2 Corinthiens 5:7 : Cette phrase contient une dimension morale et philosophique. Elle peut être interprétée comme une conviction que la justice, la bonté et la vérité finiront toujours par triompher, même face aux ténèbres et à l’injustice. Elle évoque une forme de résilience, une certitude que les actions malveillantes ne domineront pas indéfiniment.
Selon le contexte dans lequel elle est utilisée, elle peut revêtir une nuance spirituelle, politique ou personnelle. Par exemple, certains l’emploient pour exprimer leur foi en un avenir meilleur, tandis que d’autres l’associent à une lutte contre l’oppression ou l’adversité.
C’est vrai qu’imaginer un monde parfait peut sembler idéaliste, voire naïf. Mais espérer un monde meilleur ne signifie pas forcément croire en une utopie inaccessible. L’histoire est remplie de progrès qui semblaient impossibles avant qu’ils ne deviennent réalité : la fin de certaines tyrannies, les avancées médicales, les droits humains acquis de haute lutte. Tout cela prouve que le changement est possible.
L’espoir
Bien sûr, le malheur et l’injustice continuent d’exister, et l’amélioration est souvent lente et imparfaite. Mais refuser l’idée d’un progrès sous prétexte qu’il ne sera jamais parfait, c’est peut-être se priver d’une force motrice essentielle : l’espoir. Ce sont les rêves et les idéaux qui ont poussé les sociétés à évoluer.
Alors, plutôt que de voir cela comme une utopie inatteignable, peut-être faudrait-il considérer que chaque petit pas vers un monde plus juste est déjà une victoire.
Pour beaucoup de personnes, la foi est une source d’espoir et de réconfort, une manière de donner un sens aux épreuves et de croire en un avenir meilleur. Perdre cette confiance peut effectivement être bouleversant et laisser un vide difficile à combler. Cela peut amener à un sentiment de désillusion, voire de perte de repères.
Mais l’espoir peut aussi se nourrir d’autres sources : les liens humains, les convictions personnelles, les projets et aspirations. Certains trouvent du réconfort dans la philosophie, la solidarité, ou même dans l’idée que le monde peut évoluer grâce aux actions de chacun.
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