
Elle n’a que 22 ans, mais sa pétition contre la loi Duplomb a déjà rassemblé plus de 2 million de signatures. Éléonore P., étudiante en sciences politiques, est devenue malgré elle le visage d’une génération décidée à ne plus rester silencieuse. Derrière cette mobilisation fulgurante, il y a une conscience écologique aiguë, une défiance vis-à-vis des institutions, et une volonté farouche de faire entendre une parole citoyenne.
Une voix qui fait trembler l’Assemblée
Un parcours forgé par l’engagement
- Originaire de Lille, Éléonore s’investit très tôt dans les luttes environnementales locales.
- Après des études en géopolitique et droit européen, elle découvre les rouages du lobbying à Bruxelles, ce qui nourrit sa volonté de transparence.
- Militante associative et contributrice à divers collectifs étudiants, elle conjugue rigueur académique et activisme terrain.
Naissance d’une pétition virale
- Le 8 juillet, elle découvre l’adoption de la loi Duplomb via une motion accélérée : pour elle, c’est un choc démocratique.
- En 48 heures, elle rédige une pétition qu’elle diffuse via Instagram et TikTok, accompagnée de visuels percutants.
- Grâce au soutien d’ONG comme Pollinis et de personnalités engagées, le texte devient viral.
Un retrait volontaire des médias
- Face à l’emballement médiatique, Éléonore décide de se retirer temporairement pour éviter la personnalisation du mouvement.
- Elle affirme que « la pétition appartient aux citoyens, pas à une figure ».
- Cette décision est saluée comme un signe de maturité et d’humilité politique.
Une jeunesse en quête d’impact
- Éléonore incarne une génération qui refuse l’impuissance et se saisit des outils numériques pour créer du changement.
- Elle défend une démocratie participative, horizontale, où l’expertise citoyenne est reconnue.
- Son combat est partagé par des milliers de jeunes qui, comme elle, veulent réconcilier écologie, justice sociale et pouvoir d’agir.
Une étincelle qui pourrait devenir incendie
Éléonore ne cherchait ni la lumière, ni les honneurs. Mais son engagement a ravivé quelque chose : l’envie de croire que la démocratie peut venir d’en bas. Si la pétition aboutit à un débat parlementaire, ce sera aussi la victoire d’une jeunesse qui refuse le cynisme. Et si ce n’est pas le cas ? Ce ne sera que le début.
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