
Retours croisés sur les publications du 15 juillet, où l’écho du festival d’Avignon résonne dans les colonnes nationales. La presse a scruté les grands rendez-vous du IN, mais aussi les audaces du OFF, entre enthousiasme, perplexité et quelques coups de griffe bien sentis.
Les spectacles qui font sensation
- Le silence d’Hécube : Salué comme “le cri étouffé d’un monde en souffrance” (Le Monde), la mise en scène de Marina Galvan secoue les consciences.
- Je suis personne : Remarqué dans le OFF pour son dépouillement radical et son jeu vibrant, qualifié de “murmure poétique en pleine foule” (La Croix).
- La maison brûle : “Spectacle incandescent”, titrait L’Humanité, saluant un texte qui prend feu sur la scène comme dans les têtes.
Les critiques les plus piquantes
- Le Monde encense “La maison brûle” comme “l’acte théâtral le plus nécessaire du moment”.
- Libération étrille “Blablabla” : “Une proposition confuse, plus bavarde qu’engageante.”
- Télérama pose la question : “Le OFF est-il devenu un terrain de privilèges déguisés ?”
En perspective – La vision d’Antonio : Il est temps de repenser les subventions du OFF.
Trop d’artistes auto-financés, trop de compagnies à bout de souffle. Proposition : création d’un fonds indépendant géré par des professionnels de terrain, transparence dans les critères, soutien aux premières créations. “Le OFF ne peut survivre uniquement à l’amour des artistes. Il faut des actes, pas seulement des applaudissements.”
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