
Un chant venu des éléments — quand le soleil brûle, que l’eau murmure, et que l’âme cherche l’ombre sacrée.
Sous la canicule, je deviens brume
En ces jours de chaleur accablante, j’ai voulu revenir à l’essentiel. À la terre, aux souffles, aux symboles anciens. Ce poème chamanique est né comme une offrande intérieure : entre brume et lumière, il invoque l’eau sauvage, la paix du silence, et le lien profond avec les forces invisibles qui nous entourent. Que ce texte vous serve de refuge, d’inspiration ou de simple souffle de fraîcheur spirituelle.
Je suis fils du vent et gardien des rivières,
Ma peau écoute la terre, mon cœur bat avec les pierres.
Sous la canicule, je deviens brume,
Invisible mais vivant, entre feu et lune.
Le soleil me cherche, je danse dans ses flammes,
Mais l’eau coule en moi, forte, sage, indomptable.
Je bois la lumière, je respire la paix,
Et chaque goutte en moi devient secret sacré.
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