La situation est ubuesque : la valeur du baril cotait, lundi soir, en dessous de zéro dollar. Autrement dit, les investisseurs cherchant à se débarrasser de leurs barils sont prêts à payer pour trouver preneurs, tellement le marché est saturé.
Les premiers échanges asiatiques montrent la voie
Il faudra du temps pour que l’économie mondiale reprenne de la vigueur. Pourtant la baisse drastique de la production de pétrole aurait dû peser durablement sur le prix de vente du baril de pétrole. Or, les premiers échanges asiatiques, ce lundi 20 avril 2020 montrent la voie, le brut américain s’échange à moins de 15 dollars le baril.
L’économie mondiale ne fonctionne pas d’une manière stop and go, même si, ici ou là la volonté de relancer existe globalement, problème il faut aussi trouver des clients souvent empêtrés dans un probable déconfinement.
La tendance mondiale des marchés est toujours « à l’attente » à trop vouloir se précipiter on risque même d’étouffer la reprise.
Ce 21 avril la situation devient ubuesque : la valeur du baril cotait, lundi soir, en dessous de zéro dollar. Autrement dit, les investisseurs cherchant à se débarrasser de leurs barils sont prêts à payer pour trouver preneurs, tellement le marché est saturé.
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