En 2012 elle exposait au Qatar collectivement dans « Between two Cultures ». Le Islamic Arts Magazine et la journaliste Laura Beltrán Villamizar la mettent en valeur dans une expo en solo « Harem of the Heart ».
Pendant des siècles, on nous a dit comment vivre et de se comporter…
Né et a grandi à Téhéran, l’artiste iranienne Samira Hodaei est sans cesse inspirée par son pays d’origine où elle vit et travaille actuellement. En 2012 au Qatar elle a participé à une exposition collective « Between two Cultures » c’est une habituée des expos internationales, Tokyo, Sydney, Milan… L’Islamic Arts Magazine et la journaliste Laura Beltrán Villamizar la mettent en valeur dans une expo en solo « Harem of the Heart ». À travers son art, elle a adapté les conflits culturels, les divisions et les complexités qui ont façonné sa patrie.
Maintenant il faut être authentique et raconter son histoire
Laura Beltrán Villamizar nous la décrit avec ces mots : « Elle s’exprime plutôt en fonction de l’expérience qu’elle a vécue comme une artiste féminine… est d’essayer d’être authentique et personnelle dans son travail de création. Elle tente de raconter son histoire, ce qui pourrait être l’histoire de tant de femmes là-bas aussi. »
Elle donne vie par sa technique d’une extrême précision à chaque minuscule point de sa toile. Elle parle volontiers de « pixels » car elle est fascinée par le monde virtuel et les moyens extraordinaires de cet univers
Elle expose en permanence à « the AB Gallery, a programme of the Oryx Foundation in Switzerland » en attendant de voir ses œuvres, suivez le lien.